With a book on her knees
Quelques fois il me suffit d'ouvrir un livre pour avoir l'impression d'être au bout du monde
Si certains se sentent bucoliques devant le clapotis hivernal des vagues, mon esprit à moi divague sous les tiraillements du métro. Question d'habitat naturel me direz-vous, quelque chose comme ça. Mais quelques fois, lorsque je ne m'imagine pas la vie des autres passagers, lorsque je ne me choque pas moi-même à remarquer que la fille devant moi à - OH MY GOD - un VRAI Chloé Paddington coutant la bagatelle de 1 300 € ... Quelques fois, donc, je deviens un sorcier. Ou une jeune femme racontant ses confessions du mois. Bon, quelques fois, c'est un commissaire aux comptes en pleine mission d'audit. Mais d'autres c'est un jeune garçon amoureux d'une dénommée Sophie pendant la Résistance.
Et oui, vous l'aurez deviné:
Dans le métro quelques fois, je lis, et j'adore ça
Moralité: Si vous voyez une jeune fille rêvant dans les transports, n'essayez pas de deviner qui elle est à l'instant précis en la dévisageant. Regardez la 4° de couverture: vous le saurez très vite
Conclusion: à défaut de lire, vous pouvez envisager des vacances . En amoureux. En famille. Ou tout seul. Personnellement, j'ai déjà testé des clubs fabuleux dont l'UCPA avec ma best. Je compte tester l'aventure en solo dans quelques mois. Et je rêve de voyages en tandem. Mais moi je dis, en attendant, lire, c'est tout aussi bien (et presque aussi merveilleux)